Bonjour à tous ! Pour finir le mois de janvier, voici mon bilan de mes lectures mensuelles de mangas ! Ma pile à lire est longue, comme le retard que j’ai pris sur les nouveautés… Néanmoins, j’ai la volonté de terminer ma pile à lire avant d’acheter trop de nouveaux tomes ! Ainsi, les bilans mensuels seront très remplis et avec moultes séries différentes !
Haikyu!! Les AS du Volley (Haruichi Furudate) – Tomes 42 et 43 – Kazé Shônen
Synopsis du tome 42 (Source : quatrième de couverture) :
Fiévreux et épuisé, Hinata est contraint de quitter le terrain… Karasuno aborde la dernière phase du match qui l’oppose à Kamomedai privée de l’une de ses principales forces motrices ! De son côté, c’est un Hinata impuissant et dépité qui assiste au dénouement de la rencontre à travers un écran… Depuis ce nouveau poste d’observateur, quels enseignements tirera-t-il pour la suite ?
Le match confrontant Karasuno et Kamomedai continue alors que Hinata est à bout de forces et fiévreux. Les corbeaux tentent bien que mal de contenir leurs adversaires mais ces derniers sont tout simplement supérieurs et les battent. C’est ainsi la fin du tournoi pour Karasuno et de cet long arc. L’équipe protagoniste aura époustouflé leurs différents adversaires tout du long des matchs. La fin de cet arc amène ainsi les terminales à quitter l’équipe et pose des questions portées sur l’avenir, notamment pour Hinata. Puis, le mangaka décide de faire une ellipse jusqu’à montrer le parcours d’Hinata après le lycée. Généralement, c’est souvent synonyme des chapitres finaux pour un manga de ce type mais il n’en est rien. Hinata s’est envolé au Brésil où il y apprend le beach volleyball, qui n’a presque rien à voir avec le volley en salle. Malgré plusieurs difficultés, il arrive à se faire un petit nom et à évoluer sa vision du volleyball. Il revient ainsi au Japon et intègre une équipe professionnelle de première division où ils retrouvent d’anciens adversaires. Son premier match officiel est l’occasion pour lui d’enfin affronter en face-à-face Kageyama, son éternel rival. Avec ce nouveau match opposant Hinata et Kageyama, on sent que Haruichi Furudate nous emmène vers la conclusion de son manga. Ce nouvel arc réintroduit également nombre de personnages et ce qu’ils sont devenus depuis la défaite de Karasuno contre Kamomedai. De plus, le mangaka nous dévoile l’aspect professionnel du volleyball avec les matchs. Pour finir, son dessin est toujours aussi dynamique et puissant, jouant avec les onomatopées et le découpage pour apporter plus d’impacts.
Rohan au Louvre (Hirohiko Araki) – One-Shot – Futuropolis
Synopsis (Source) :
Rohan Kishibe est un jeune mangaka. Pendant ses vacances, il fait la connaissance d’une jeune femme, Nanasé, qui loue une chambre chez sa grand-mère. Le voyant dessiner, elle lui parle d’un tableau, certainement le tableau le plus étrange au monde : celui de Nizaémon Yamamura, peint avec la couleur la plus noire jamais créée, dont la matière aurait été extraite d’un grand arbre, vieux de plus de 1 000 ans. Un tableau maudit, car le peintre fut condamné à mort par son Seigneur pour avoir abattu cet arbre vénérable. Le tableau échappa de peu à la destruction et fut acheté par un conservateur du Louvre, deux cents ans auparavant. À la fin de l’été, Rohan rentre chez ses parents et oublie cette histoire. Dix ans plus tard, devenu un professionnel reconnu, Rohan entend parler à nouveau de ce fameux tableau noir. Profitant d’un séjour à Paris, il décide alors d’aller le voir au musée du Louvre. Las, le tableau, s’il apparaît bien dans les répertoires du musée, semble avoir disparu…
J’ai écrit un article sur ce one-shot durant le mois de janvier que vous pouvez retrouver ici : Rohan au Louvre : Une aventure bizarre et artistique.
La voie du tablier (Kousuke Oono) – Tome 7 – Big Kana
Synopsis (Source) :
Tatsu l’immortel est un ancien yakuza qui s’est reconverti en homme au foyer.
Cette fois-ci, il va récolter les cotisations des habitants de son quartier, semer la zizanie dans une chambre d’hôpital…
Avec les apparitions de Mme Torii, de Torajirô, de la présidente du comité de quartier et même du beau-père de Tatsu, le septième volume de ce manga comique met en scène une belle brochette de personnages hauts en couleur !
Comme d’habitude, la critique de ce manga sera plutôt courte. On est rendu au septième tome et pourtant je n’exprime aucune lassitude face à ce manga comique jouant sur l’univers des yakuzas. C’est toujours aussi drôle, débile et extravagant, sur fond de tranche de vie comique. Je prends un grand plaisir à retrouver Tatsu, Miku, Masa et autres personnages récurrents. Le découpage est toujours aussi réussi et renforce le côté comique de l’œuvre. Pour finir, j’exprimerais une fois de plus la seule critique que je trouve sur ce manga, c’est que c’est tellement bon que ça se lit trop vite !
JoJo’s Bizarre Adventure Part 8 : Jojolion (Hirohiko Araki) – Tome 22 – Delcourt/Tonkam
Synopsis (Source : quatrième de couverture) :
Ayant flairé qu’un secret se cachait derrière la famille Higashikata, Ojiro apparaît devant Tsurugi. Dans quel but ? Pendant ce temps, Josuke et Mamezuku essaient de se confronter au mystérieux directeur de l’hôpital. Mais le stand de celui-ci se déclenche ! A partir de là, toute tentative pour s’approcher de l’ennemi semble vaine. Que vont-ils pouvoir faire ?!
Le conflit opposant divers manieurs de Stand pour obtenir le nouveau Rokakaka continue ! Dans la première partie du tome, l’action est concentré sur Tsurugi et Jobin qui sont attaqués par un ancien ennemi de Josuke, le manieur du Stand Fan Fan Fan Ojiro Sasame. Je trouve ça intéressant que Hirohiko Araki remette sur le devant de la scène ce personnage, ça permet de voir l’utilisation de son Stand dans d’autres circonstances et renforce le fameux dicton disant que « les manieurs de Stand s’attirent mutuellement ». Ojiro désire obtenir le nouveau Rokakaka mais Jobin ne se laisse pas faire. La deuxième partie du tome revient sur Josuke et Mamezuku qui tentent de se rapprocher du directeur. Malheureusement, ils sont recherchés par la police depuis un accident causé devant l’hôpital universitaire TG. Alors qu’ils se font attaquer par un Stand ennemi, Josuke prend la décision de se blesser volontairement afin de se rapprocher du directeur. Le tome se conclut sur Yasuho qui découvre le visage du directeur grâce à l’aide de son ancien petit ami Toru. J’ai beaucoup aimé ce tome qui arrive à mélanger de l’action en première partie puis du policier et du mystère dans sa deuxième. On sent que l’éclosion du nouveau Rokakaka est imminente et que l’étau se resserre sur Josuke, Jobin ou encore le directeur Satoru Akefu. On est vraiment dans l’arc final et j’ai hâte de découvrir la conclusion de cette partie !
My Hero Academia (Kohei Horikoshi) – Tomes 12 à 14 – Ki-oon
Synopsis du tome 12 (Source : quatrième de couverture) :
All Might est victorieux, mais à quel prix ? Désormais incapable d’utiliser son pouvoir, le numéro un des super-héros tire sa révérence et décide de se consacrer entièrement à son rôle de mentor.
Et il va y avoir du travail, car tout change pour les seconde A, qui logent à présent à l’internat de Yuei… Leur objectif : le permis provisoire d’utilisation d’alter ! Seulement, pour obtenir ce précieux sésame, encore faut-il réussir l’examen…
All for One est vaincu ! Malheureusement, All Might perd le One for All et ses blessures lui font arrêter l’activité de super-héros. Le bouleversement est tel dans la société que de nouvelles règles concernant la formation des futurs super-héros sont modifiés mais également de nouveaux super-vilains sont mis sur le devant de la scène. Malgré cela, Izuku continue de progresser et d’évoluer l’utilisation du One for All. A travers ces 3 tomes, Izuku s’entraîne, passe l’examen pour obtenir le permis provisoire d’utilisation d’alter, règle ses comptes avec Katsuki, rencontre les meilleurs élèves de la filière héroïque de Yuei et enfin se fait embaucher en tant qu’apprenti héros chez l’ancien partenaire d’All Might. Outre ça, la ligue des super-vilains s’active et tente de recruter de nouvelles personnes afin d’agrandir leur organisation. Malheureusement, Shigaraki et sa bande s’attirent les foudres d’un gang mafieux. Ces 3 tomes sont les premiers après la fin d’All Might en tant que super-héros. Il est intéressant de voir l’impact de ce personnage sur l’œuvre, tant il y a un avant et un après perceptible très rapidement, notamment à travers les conditions d’accès du permis provisoire. J’aime beaucoup cette relecture car elle me permet de mieux apprécier certains points tels que l’importance de la société quant au travail des super-héros. De plus, comprendre la psychologie de Katsuki fait rendre compte que, malgré son énorme potentiel, il reste un adolescent. Au niveau du récit et de la construction des pages, je sens que le mangaka s’est amélioré puisque c’est plus facile à lire que durant les premiers tomes. Une certaine stabilité se place, lui permettant ainsi de se concentrer davantage sur le dessin, qui apporte beaucoup d’impact que ce soit lors des scènes de combat ou les émotions des personnages.
Grand Blue (Kenji Inoue, Kimitake Yoshioka) – Tome 4 – Meian
Synopsis (Source) :
Les Peek a Boo ont décidé d’organiser un camp d’entraînement à Okinawa pour préparer les nouveaux membres à passer leur licence de plongée. Mais pour pouvoir se payer le voyage, Iori et les autres vont devoir travailler… et ne pas dépenser tout leur argent en alcool, surtout !
Les rattrapages réussis, la vie étudiante de Iori peut continuer ! Entre soirées qui tournent mal et des emplois étudiants plus ou moins foireux, Iori et les membres du club de plongée cotisent afin de partir en camp d’entraînement à Okinawa. Ce sera également l’occasion pour les récents membres de passer leur licence de plongée. La deuxième partie du tome se concentre sur l’arrivée à Okinawa, avec toutes les galères dont le passage de la licence de plongée qui semble être ardue pour Iori notamment ! Grand Blue arrive encore à me faire rire, grâce à l’humour débile du scénariste et le trait très exagéré de l’illustrateur sur le visage des personnages. Le duo de mangakas est efficace et délivre une œuvre très marrante ! Le rythme est bien dosé, ce qui permet de ne pas avoir trop de blagues à la case, tout en ayant assez par chapitre. J’ai vraiment hâte de découvrir les chapitres inédits qui n’avaient pas adapté lors de l’adaptation animée !